Kosta de Alhabaite

Nortenho, do Condado Portucalense

Se em 1628 os Portuenses foram os primeiros a revoltar-se contra o domínio dos Filipes, está na hora de nos levantarmos de novo, agora contra a corrupçao, o centralismo e colonialismo lisboeta!

Porto na pintura (26)

(Nadir Afonso - S. Lázaro 1948)

Que filho da puta de parlamento temos...

Dois anos depois dos assassinatos de Pedrógão às mãos do partido socialista, e das seitas do bloco de esterco e dos comunistas, o parlamento aprovou um voto de pesar pela actuação do governo. De Cavaco. Por causa da repressão do "buzinão" … de 1994.

Corrupto jornalixo (benfiquista) de merda: a revista Sábado e o "jornalista" Nuno Tiago Pinto


O "jornalista" @ntpinto23, que assinou a notícia "Todos foram espiados por Rui Pinto", ocultou o nome do FC Porto. O dito jornalista já veio esclarecer que à data não tinha essa informação. Tirem as vossas próprias ilações…

Assim sendo, a fonte da Sábado veiculou informação truncada e conduziu os jornalistas da revista a um equívoco. O ponto 7 do Código Deontológico é claro em relação a isso: a fonte pode e deve ser revelada.

LE MONDE: « Football Leaks » : la détention provisoire du lanceur d’alerte Rui Pinto prolongée de trois mois

Les avocats du jeune homme, à l’origine des révélations des « Football Leaks », dénoncent « une persécution judiciaire » de la part des autorités portugaises. 

Rui Pinto et son avocat William Bourdon, le 5 mars 2019.
Rui Pinto et son avocat William Bourdon, le 5 mars 2019. FERENC ISZA / AFP

Combien de temps Rui Pinto restera-t-il en prison ? Encore un bon moment, semble-t-il. A l’origine des révélations des « Football Leaks », qui ont déclenché une tornade à l’automne 2016 et deux ans plus tard, le lanceur d’alerte portugais a vu sa détention provisoire prolongée de trois mois, lundi 23 juin, par les autorités judiciaires de son pays.

Le jeune homme de 30 ans est incarcéré à Lisbonne depuis mars et son extradition autorisée par la Hongrie, où il résidait. Chargé de la procédure à ce stade, le parquet souhaiterait étendre à un an sa détention provisoire, jugeant son cas « complexe ». Rui Pinto, alias « John », n’a plus été entendu par la justice portugaise depuis sa première audition, en mars.

Contacté par Le Monde, son avocat portugais, Francisco Teixeira da Mota, est catégorique : « Il n’y a aucune raison juridique de garder Rui Pinto en prison. »

En janvier, un mandat d’arrêt européen avait été émis par le Portugal à l’encontre de M. Pinto. Le fonds d’investissements Doyen Sports, apôtre de la tierce propriété des joueurs (TPO), et le Sporting Club Portugal lui reprochent d’avoir « hacké » leur système informatique à l’automne 2015. Le lanceur d’alerte est aussi accusé de « violation du secret », « d’insulte publique » et « de tentative d’extorsion » contre Doyen Sports.

12 millions de fichiers remis aux enquêteurs français


Ses avocats estiment que ce dernier grief a été avancé pour « criminaliser » leur client. Lequel a été entendu comme témoin par le Parquet national financier (PNF) en novembre 2018. Il a remis 12 millions de fichiers informatiques aux enquêteurs français. Les autorités portugaises veulent, elles, récupérer la masse colossale de 10 téraoctets de données saisies à son domicile.

Rui Pinto est, en outre, en contact avec les autorités fiscales allemandes et a été auditionné, en mars, par le magistrat fédéral belge Julien Moinil. La plupart des données sont chiffrées et le lanceur d’alerte est désireux de les rendre utilisables quand sa détention sera levée.

D’autre part, les procureurs français, suisses et belges ont envoyé aux autorités hongroises une demande de « coopération européenne », dans le cadre d’Eurojust (l’Unité de coopération judiciaire de l’Union européenne), pour entendre M. Pinto comme témoin et obtenir les données saisies.

A l’initiative de la France, plusieurs pays européens (France, Allemagne, Belgique, Suisse, Portugal, Espagne) avaient tenu une réunion et organisé un point presse, en février, à La Haye (Pays-Bas), pour évoquer le cas Rui Pinto, qui avait permis au consortium European Investigative Collaborations (EIC), dont Mediapart fait partie, de multiplier les révélations.

Le représentant portugais à ce « sommet », Antonio Cluny, a toutefois discrédité cette démarche en se trouvant en situation de conflit d’intérêts. Son fils, João, est avocat au sein du cabinet portugais MLGTS, qui a pour clients plusieurs footballeurs éclaboussés par les « Football Leaks ».

Un associé du cabinet MLGTS est par ailleurs membre de l’équipe de défense du joueur portugais Cristiano Ronaldo dans l’affaire des accusations de viol qu’il aurait commis à Las Vegas. L’intéressé dément. Mais les autorités américaines, présentes à La Haye en février, espèrent récupérer des données des « Football Leaks » pour creuser leurs investigations dans ce dossier.

Au centre de ces enjeux judiciaires, Rui Pinto pourrait donc passer encore plusieurs mois en détention provisoire, contre laquelle il a fait appel, avant de connaître les charges retenues ou non contre lui.

« Persécution judiciaire »


« Il est ahurissant que les datas soient utilisés pour criminaliser lourdement et injustement Rui Pinto et non pour criminaliser ceux qui doivent rendre des comptes : les grands délinquants portugais du football (agents, sociétés de conseil) », déclare au Monde Me William Bourdon, le principal avocat de Rui Pinto. « Rui Pinto fait l’objet d’une persécution judiciaire qui s’explique par la puissance du monde du football portugais, ses clubs et agents [en premier lieu Jorge Mendes, poursuivi comme ses clients Cristiano Ronaldo et José Mourinho pour évasion fiscale]. Dès l’origine, Rui Pinto n’a souhaité qu’éclairer le monde et ses découvertes ont dépassé tous ses cauchemars. Elles donneront lieu, dans quelques années, à de grands procès en matière de fraude fiscale. »

Avec la fondation Signal Networks et d’autres parlementaires, la députée européenne portugaise (PSE) Ana Gomes a demandé à rencontrer Francisca Van Dunem, la ministre de la justice du Portugal pour évoquer le cas Rui Pinto. Le rendez-vous est prévu le 16 juillet.

« Ce sera une opportunité pour clarifier les raisons pour lesquelles Rui Pinto doit être considéré, et protégé comme un lanceur d’alerte, au lieu de subir le traitement voué à des criminels dangereux. Voici trois mois qu’il est en détention préventive au Portugal, sans accusation formelle », confie au Monde Mme Gomes.

« On craint qu’il n’ait été mis en prison pour le briser psychologiquement, poursuit-elle. Entre-temps, les grands criminels qu’il pourrait aider la justice portugaise à capturer continuent, sans problème, leur activité criminelle… »

Une directive européenne en question


Mme Gomes s’étonne que Rui Pinto n’ait pas été « invité, jusqu’à aujourd’hui, à coopérer avec les autorités portugaises contre la criminalité financière et fiscale qu’il a exposée ». Alors qu’en Espagne, plusieurs dizaines de millions d’euros ont été récupérés grâce aux amendes et peines infligées à Cristiano Ronaldo ou José Mourinho pour fraude fiscale, les autorités portugaises ne donnent aucun élément chiffré en la matière.

« La politique menée par le Portugal et l’acharnement des autorités judiciaires portugaises sont en contradiction avec le droit européen en matière de protection des lanceurs d’alerte et les exigences et ambitions d’Eurojust », dénonce William Bourdon. Ce que dit également Mme Gomes,selon qui le Portugal devrait se plier à la directive européenne contre le blanchiment de capitaux et financement du terrorisme, « dont l’article 38 oblige les Etats membres à protéger les lanceurs d’alerte de crimes de blanchiment ». D’autant qu’une nouvelle directive en matière de protection de ces lanceurs d’alerte a été adoptée le 16 avril par le Parlement européen.

« On me dit que les autorités françaises ont proposé à Rui Pinto un statut de protection spéciale en France, prenant en compte les énormes risques qu’il courait, avance Ana Gomes. C’est accablant de penser que rien de similaire ne se passe au Portugal, où le football est devenu le vrai “opium du peuple”. »


O sporting "not" lisbon continua a ser um clube muito (pouco) democrático

Uma assembleia geral em que os boletins de voto estão marcados para se saber quem vota e em que sentido

As 5 fases de um governo socialista

1ª FASE (O outro gajo)
A culpa é do Passos. Esse ganda sacana fascista, neo liberal, que nos deu cabo da economia, do SNS, dos serviços públicos, das empresas públicas, do investimento público, dos bancos, e de todo a imensa e brilhante herança do governo de Sócrates que à imagem de nós, tb ele não teve culpa de nada e o que de mal lhe ocorreu foi tudo por causa de uma tal de crise internacional, coisa externa, logo por culpa de outros, e tb foi o Passos que deu cabo de todos os avanços, conquistas e sucessos que nos foram deixados em legado por todas as anteriores governações socialistas de boa memória.
(de utilização diária durante os primeiros 42 meses de governo)
2ª FASE (A gente quer mas não deixam)
A culpa é dos parceiros que sustentam o nosso governo, e da oposição pois foram eles que que não nos deixaram governar como queríamos, e acima de tudo, por causa deles não conseguimos corrigir todas as sacanices e maldades que o Passos andou a fazer e no que nos deixaram e podíamos fazer não tivemos tempo para o fazer, pois 4 anos, como bem sabem, não dá para nada.
(de utilização durante os 6 meses remanescentes da legislatura e nos casos em que por algum motivo já não se possa dizer que a culpa é do Passos)
3ª FASE (também somos vitimas)
A culpa é dos cidadãos e dos utentes, uma cambada de piegas, queixinhas, uns ingratos, que nunca estão satisfeitos com o que por especial favor lhes damos, uns exagerados nas suas desmesuradas exigências, pois vejam lá só, agora deram até para começar a exigir receber algo em troca pelos impostos que pagam, como se o Estado, os Funcionários Públicos, e os governantes, eleitos ou nomeados, existissem para os servir. Vocês, o povo, sois uns indisciplinados e lentos de compreensão, que precisam de ser educados, e para isso é que cá estamos nós, que ao fim de todos estes anos ainda não conseguiram aprender que se querem algo resolvido, de forma rápida, em tempo útil, e bem, não devem ir a um serviço público antes da hora de abrir, ….. e tb muito menos durante o horário normal de expediente. Se alguém tem razão de queixa somos nós, o governo, pois fartamo-nos de trabalhar, abnegadamente, desinteressadamente, e com enorme sacrifício de nossas vidas pessoais, para vos servir, e depois de tudo o que temos feito por vós ao invés de recebermos reconhecimento e agradecimento, recebemos queixas e lamúrias. Uma injustiça e imerecida ingratidão.
(de utilização somente nos últimos 6 meses de governação, nos casos se tenha chegado ao poder poder sem ter ganho eleições, com governo de minoria, e quando se aproximam as seguintes eleições, com sondagens a não dar maioria absoluta, apesar de todos as centenas de milhões gastos a comprar grupos de eleitorado. A técnica da vitimização e do coitadinho e colocarem-se do lado das vítimas apesar de serem eles os algozes, tem sempre muita receptividade junto da maioria do povo português)

4ª) Fase (quem nunca errou nem falhou que atire a primeira pedra)
Para os casos mais extremos ou um pouco mais difíceis, em que não é possível atirar as culpas para cima do Passos, nem dos utentes, nem dos partidos da oposição que sustentam o governo nem para cima da oposição que não apoia o governo, há em último recurso o “pedimos humildemente desculpa”, “falhámos todos como nação” e o “a culpa não é só nossa, é de todos”.
Como errar é humano, traz-se para o discurso essa falha da nossa condição humana, e assim “humanizam-se” todos os erros, a incompetência, falhas, incúrias, e dizendo que a culpa é de todos colectivizam-se as responsabilidades e as culpas, que sendo de todos não são de ninguém, conseguindo por esta via, e ainda que tendo pedido “desculpas” não assumir realmente nem culpas nem responsabilidades de nada.
5ª Fase (no próximo é que vai ser)
Para o governo seguinte, e caso sejam reeleitos, dado que não já poderão dizer que as culpas são do anterior governo, recorre-se à velha e comprovada técnica de dizer que tudo o que não fizeram no anterior governo, foi porque passaram 4 anos no governo, totalmente ocupados a limpar as sacanices e malandrices feitas pelo Passos, e precisamente por isso não tiveram tempo algum para poder governar nem fazer o que de facto era necessário fazer. Mas prometem que no próximo governo é que vão fazer o que não fizeram nem nunca quiseram fazer. Mas para isso, claro, dizem precisar de mais 4 anos… e depois mais 4, porque como a oposição não colabora, tudo se atrasa e tudo leva mais tempo!
Nunca falha e é garantia de mais 4 anos sem terem que assumir nem culpas nem responsabilidades de nada. Nem do que fizeram, nem daquilo que deixaram de fazer.
Rui Mendes Ferreira

COUTINHOS HÁ MUITOS, MAS... Caros amigos de Viana, a desfiguração de paisagens e orlas costeiras pertence a um pequeno clube. E vocês não são parte desse clube sulista e elitista !

ISTO É EM VIANO DO CASTELO, A NORTE, LONGE DA CORRUPTA CORTE LISBOETA


Os habitantes do Prédio Coutinho, independentemente de considerações subjectivas sobre estética e urbanismo, adquiriram as suas habitações de forma legal, tendo liquidado impostos no pressuposto de que o seu direito de propriedade seria respeitado.

ISTO É A SUL, ALI AO PÉ DA CORRUPTA CORTE LISBOETA

E JÁ AGORA ESTE?

TIREM AS CONCLUSÕES QUE ENTENDEREM.

A isto se chama hegemonia cultural marxista totalitária

A actual hegemonia cultural permite tudo menos criticar ou afrontar o socialismo/comunismo/marxismo.

  • podem-se matar bebés até aos 9 meses, 
  • mandar "eutanasiar" o avô, 
  • inventar um sexo e exigir reconhecimento jurídico para a nossa fantasia, 
  • levar um país à falência, 
  • dissolver uma cultura, 
  • criminalizar o cristianismo e gastar 3 milhões de dinheiro público na construção de uma mesquita,
  • legalizar a pedofilia, 
  • levar o cão a jantar fora, 
  • chamar arte ao "fisting” colo-rectal, 
  • emboscar crianças em salas de aula com ideologia de género, 
  • fazer activismo político enquanto se exerce a profissão de professor, 
  • abrir as fronteiras a terroristas, 
  • apoiar publicamente regimes assassinos, 
  • culpar polícias e vitimizar criminosos, 
  • criminalizar um beijo à avó, 
  • atacar a heterosexualidade e promover a homosexualidade, etc, etc, etc.
Tudo é legal e nos é permito fazer menos criticar o socialismo/comunismo/marxismo.

A isto se chama hegemonia cultural marxista totalitária.

Júlio Aquino

A tragédia da educação às mãos de um governo de esquerda suportado pela extremo-fascista esquerda

  • Aumento da flexibilidade curricular; 
  • Corte nos conteúdos de exame, facilitando-os; 
  • Fim do exame de Matemática para os que querem ser professores do 1° ciclo. 
É isto a política da geringonça para a Educação. Trocaram a inteligência, a meritocracia pelo facilitismo. 
Que tragédia!

A podridão da corrupta capital portuguesa já não pode ser escondida. Nem pela marioneta das selfies!



Melisa Rodríguez confrontou Presidente da República com nomeações de familiares no Governo de António Costa.

O Presidente da República, Marcelo Rebelo de Sousa, foi surpreendido, (…) quarta-feira, com a pergunta da deputada do Cidadanos Melisa Rodriguez sobre o combate à corrupção em Portugal.

A convite da presidente da Assembleia Parlamentar do Conselho da Europa, Liliane Maury Pasquier, o chefe de Estado português discursou na sessão daquele organismo, defendeu que a democracia requer "um esforço diário" porque "nunca está completa" e reiterando apelos ao combate à corrupção e à autonomia dos magistrados.
Esta terça-feira, o Grupo de Estados Contra a Corrupção (GRECO) do Conselho da Europa divulgou um relatório que indica em Portugal foi, no ano passado, o país com a maior proporção (73%) de recomendações não implementadas. E foi por aí que a deputada espanhola pegou, recordando as nomeações de familiares no Governo de António Costa e questionando Marcelo. "O que fará para que o Governo socialista se comprometa a combater a sério a corrupção?", ouve-se no vídeo partilhado na conta do partido.

Segundo o relatório, que analisa o nível de implementação de recomendações para prevenir a corrupção no sistema judiciário, no que diz respeito ao número total de medidas não aplicadas, a Turquia surge à frente com 26 medidas não implementadas, seguido de Portugal (11), Grécia (10), Sérvia (10), Bélgica (oito) e Bósnia-Hergozina (oito).
Após uma reunião com o secretário-geral do Conselho da Europa, Thorbjorn Jagland, e com a presidente da Assembleia Parlamentar do Conselho da Europa, Liliane Maury Pasquier, Marcelo defendeu que as recomendações do GRECO são "um exemplo de como o Conselho da Europa tem influência em Portugal a todos os níveis".
O Presidente adiantou que, por isso, na próxima semana, "estarão em votação na Assembleia da República várias leis para a transparência em matéria de relações de parentesco no exercício de funções públicas e nos novos estatutos para juízes e para o Ministério Público". "Uma boa parte das recomendações do GRECO vão, finalmente, encontrar uma ou várias respostas em leis e depois na aplicação dessas leis", reforçou.
O Conselho da Europa foi criado em 1949 no final da II Guerra Mundial com o intuito de promover a defesa do Direitos Humanos e concluir acordos à escala europeia para alcançar uma harmonização das práticas sociais e jurídicas em território europeu.
É, atualmente, a maior e mais antiga organização intergovernamental com caráter político, integrando 47 países, incluindo todos os Estados-membros da União Europeia e 21 países da Europa Central e Oriental.
Para além dos Estados signatários, foram aceites pelo Conselho da Europa como observadores os Estados Unidos da América, o Canadá, a Santa Sé, o Japão e o México. Israel é observador da Assembleia Parlamentar.  (via)


Os vermes multiplicam-se e nós nada! pedro silva pereira




Polícia Judiciária investiga classificações dos árbitros da 1.ª Liga. Só um cego não vê porquê!

Mediante as prestações e os favorecimentos dos árbitros ao corrupto benfica é fácil de perceber a queixa. Classificação dos árbitros 2018/2019:
1º Jorge Sousa
2º João Pinheiro
3º Rui Costa
4º Nuno Almeida
5º Tiago Martins
6º Artur Soares Dias
7º Luís Godinho
8º Manuel Mota Um manto encornado sobre cada um deles: Favorecimento, dualidade de critérios, atitudes persecutórias, desconhecimento das leis de jogo, incapacidade física camuflada que permite depois ser alavancado na classificação…

Graças a Deus que é só em lisboa!!! Felizmente no nosso País, no Porto é quase de borla!!! Somos uns sortudos!!! Demos graças!

Do centralismo e colonialismo lisboeta


A merda é igual, só mudam os corruptos e os pulhas!


Um País, Dois Sistemas: Sector Público vs Sector Privado

A imagem abaixo, roubada à Iniciativa Liberal, revela as diferenças existentes em Portugal entre o sector público e sector privado. A iniquidade entre os dois sectores configura uma situação de injustiça maior considerando que é o sector privado que financia o sector público.


O lisboeta partido socialista vê a democrcia do postigo da casa do Largo do Rato. Ou continuam a comer gelados com a testa! Só pode!

Observando os números cada vez mais crescentes da abstenção, esta dedução só pode sair de alguém que fuma cannabis nas cagadeiras de S. Bento ou do Rato



Emails e o silêncio corrupto e ensurdecedor da "justiça" desportiva




Portugal é país corrupto!

Portugal foi o país com a maior proporção (73%) de recomendações não implementadas do Grupo de Estados Contra a Corrupção (GRECO), seguido da Turquia (70%), indica o relatório de 2018 deste órgão de monitorização anticorrupção do Conselho da Europa.


Nesta lista, divulgada pelo GRECO, segue-se a Sérvia (59%), Roménia (44%), Bélgica (42%), Grécia (40%) e Croácia (39%).

Segundo o relatório, que analisa o nível de implementação de recomendações para prevenir a corrupção no sistema judiciário, no que diz respeito ao número total de medidas não aplicadas, a Turquia surge à frente com 26 medidas não implementadas, seguido de Portugal (11), Grécia (10), Sérvia (10), Bélgica (oito) e Bósnia-Hergozina (oito).
Depois, aparecem três países: Azerbaijão (sete medidas não implementadas), Roménia (sete) e Chipre (seis).
O relatório faz ainda o somatório por país das medidas não implementadas com as medidas parcialmente implementadas, surgindo aqui a Turquia à frente (33), seguida da Bósnia-Herzegovina (23), Grécia (19), Arménia (17), Bélgica (17), Macedónia do Norte (17), Sérvia (17), Chipre (14), Portugal (14) e Roménia.
Portugal aparece, por outro lado, no grupo dos quatro países com maior percentagem de medidas parcialmente implementadas ou não implementadas, com a Bósnia-Herzegovina, Sérvia e Espanha a evidenciarem uma percentagem máxima (100%) neste domínio, seguido de Portugal (93%), Bélgica (89%), Turquia (89%), Chipre (88%), Dinamarca (83%), Lituânia (77%) e Grécia (76%).
Portugal figura também entre os 16 países - juntamente com o Azerbaijão, Bélgica, Bósnia-Herzegovina, Croácia, Dinamarca, Alemanha, Lituânia, Malta, Roménia, Sérvia Eslováquia, Espanha e Turquia - que ainda não implementaram completamente uma única das medidas GRECO relativas ao Ministério Público.
Portugal consta também da lista de 10 países - ao lado da Albânia, Bósnia-Herzegovina, Chipre, Dinamarca, Grécia, Islândia, Irlanda, Sérvia e Espanha - que ainda não implementaram na totalidade qualquer das medidas respeitantes aos juízes.
O GRECO é o órgão do Conselho da Europa, com sede em Estrasburgo, que faz monitorização anticorrupção.
O GRECO surgiu, em 1999, como um acordo subscrito por 17 estados- membros do Conselho da Europa, mas que também está aberto a Estados não europeus, tendo atualmente 49 membros. (via)