Kosta de Alhabaite

Nortenho, do Condado Portucalense

Se em 1628 os Portuenses foram os primeiros a revoltar-se contra o domínio dos Filipes, está na hora de nos levantarmos de novo, agora contra a corrupçao, o centralismo e colonialismo lisboeta!

La flamme olympienne au Dragao

Obra de arte de TARIK SEKTIOUI!!!

Passer d’Anfield Road au Estadio do Dragao change du tout au tout. D’une enceinte d’un autre âge mais chargée d’histoire et de charme, l’OM pénétra ce mardi dans un stade ultra sophistiqué de 51.000 places et, il faut bien le reconnaître, magnifique. Le béton et l’acier n’ont certes pas la chaleur du bois et la brique britannique mais quel écrin que ce Dragao ! Visuellement superbe, le toit très avancé sur la pelouse offre une belle acoustique. Le seul bémol sera pour le vide laissé derrière les virages. Un terrain de jeu de haute volée donc pour une ambiance toute latine. Comme en Espagne, le public arrive ici à la dernière minute voire même après le coup d’envoi soit peu après que la sono a lâché les hymnes du club.

Pour le reste, l’ambiance fut essentiellement assurée par un virage n’agitant les drapeaux que pour les grosses actions comme la talonnade de Quaresma en début de partie et plus loin lors du raid victorieux de Sektioui. Quant aux 780 marseillais, ils n’eurent de cesse de chanter dans leur quart de virage et ils se firent bien entendre quand le public lusitanien baissait d’un ton. Et quel bonheur quand Mamadou Niang vint communier son but auprès des siens au pied du coin olympien. Et, plus les minutes défilaient, plus les chants des 780 Marseillais s’emparaient des silences de plus en plus longs laissés par leurs vis-à-vis… Jusqu’au but crève cœur de Lisandro Lopez, synonyme d’embrasement dans les rangs portugais. Mais, les Olympiens n’oublièrent pas leur précieux soutien en allant l’applaudir au coup de sifflet final.